Pour moi, l'écriture du voyage est un art du multiple. Rester au plus près du vécu tout en y mêlant des souvenirs, des contes, des rêves, une philosophie incarnée. L'écriture du voyage traduit l'amplitude de la vie.
Rester attentif au mariage des séquences. Mariage : des harmoniques, des dissemblances.
Olivier Germain-Thomas, Manger le vent à Borobudur
Gallimard, le sentiment géographique, 2013